Un après-midi. Ou des milliers. Pendant lesquels on rigole. Où le temps s'effiloche, et qu'on ne prend garde à rien. Quand il ne fait pas soleil mais pas très gris, quand on ne tient pas à dehors mais qu'on ne veut pas être en dedans. C'est là.
Quand on a froid d'avoir eu trop chaud. Et qu'on se questionne pour la suite. C'est là.
On se rappelle des amis, des amants. C'est là qu'on se traite de déluré, qu'on se rend compte qu'on est seul et que le reste n'est que du temps passé.
Une soirée. Même plusieurs. Passée entre âmes, entre fous rires, entre musiques, entre alcools. Et c'est là qu'on se surprend à faire toutes sortes de conneries, c'est là.
Je préfère les nuits. Du moins j'aime mieux me le faire croire. Des nuits où il y a une chance que je n'accroche rien. Mais ce n'est pas vrai, car c'est là.
Il y a quelque chose de trop stupide dans les dernières fois. Dans l'ignorance du fait qu'il s'agisse de la dernière fois. Mais c'est là qu'il importe de tout mettre de côté.
Et c'est là que je me dis que je pense beaucoup. À si peu.
Parce que c'est toujours là, en fait.
Quand on a froid d'avoir eu trop chaud. Et qu'on se questionne pour la suite. C'est là.
On se rappelle des amis, des amants. C'est là qu'on se traite de déluré, qu'on se rend compte qu'on est seul et que le reste n'est que du temps passé.
Une soirée. Même plusieurs. Passée entre âmes, entre fous rires, entre musiques, entre alcools. Et c'est là qu'on se surprend à faire toutes sortes de conneries, c'est là.
Je préfère les nuits. Du moins j'aime mieux me le faire croire. Des nuits où il y a une chance que je n'accroche rien. Mais ce n'est pas vrai, car c'est là.
Il y a quelque chose de trop stupide dans les dernières fois. Dans l'ignorance du fait qu'il s'agisse de la dernière fois. Mais c'est là qu'il importe de tout mettre de côté.
Et c'est là que je me dis que je pense beaucoup. À si peu.
Parce que c'est toujours là, en fait.
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