J'aime
- essayer de ne pas piler sur les fourmis quand je marche. Il y en a qui évitent les craques de trottoirs, moi je tente de ne pas tuer ces vaillants insectes. À chacun sa cause!
- le covoiturage. Plus le concept, en fait, parce que c'est pas que j'adoooore voyager avec des étrangers, mais c'est économique et écologique;
- Emily Loizeau;
- sentir la pointe de mes cheveux chatouiller ma nuque. Après plus de dix ans à porter les cheveux longs, j'avais oublié ce que ça faisait;
- le cidre;
- porter des vêtements d'été. En fait, j'aime m'habiller pour chaque saison, mais ces jours-ci, j'aime mes morceaux estivaux;
- aller me rafraîchir dans les jets d'eau du parc Victoria, y passer l'après-midi à lire ou paresser au soleil;
- «spotter» les chiens durant mes promenades;
- assister aux matchs des Capitales, malgré que le baseball n'est pas le sport le plus palpitant qui soit;
- nommer chacun des chats errants de mon quartier. Il y a Caramel Mou, Boulette Noire 1 et Boulette Noire 2 (je soupçonne qu'il y ait une Boulette Noire 3...), Lait Frappé, Nicole Kidman (merci Pierre-Luc de l'avoir baptisé celui-là), Flesh, Sel-et-Poivre... J'espère que je n'en oublie pas;
- le magazine Nunuche;
- les macarons. J'en ai plusieurs, en mets sur mes sacs, mes vestes, mon babillard;
- embrasser. Je ne le dirai jamais assez. Ça peut être si doux, si passionné, si tendre, si électrifiant, si sensuel, si chaud, si tout, un baiser...
- échanger des courriels avec mon amie Marie-Claude et ma cousine Noémie.
Je n'aime pas
- le port de bas blancs;
- le port de bas dans les sandales;
- le port de bas blancs dans les sandales;
- avoir à décider ce que je vais manger. Ces jours-ci, tout est trop compliqué et trop long à faire pour moi. Je me tourne donc plus souvent qu'autrement vers mes options-clés du moment : pâtes carbonara, jujubes (oui oui, ça peut constituer un repas, croyez-moi), Subway, fruits ou poulet. Bonjour la variété!
- la guacamole;
- la salsa non plus;
- me sentir impuissante;
- attendre;
- le dernier de Philippe Djian, Incidences. Pas pour l'instant, en tout cas, et ça s'enligne mal pour que je le finisse. C'est du déjà vu, il me semble;
- les promesses;
- laisser aller. C'est surtout parce que j'en suis rarement capable;
- les mots balancés uniquement pour faire mal;
- les mots balancés uniquement pour faire plaisir ou pour satisfaire ce besoin qu'on avait de les entendre;
- les excuses et les remerciements à répétition. Trop c'est comme pas assez.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire