Moi, je suis l'espèce de trop intense qui a les larmes aux yeux lorsque le garçon et sa «lost thing» se séparent dans le court film d'animation The Lost Thing, ou qui pleure tellement quand la vieille dame rapporte son petit renard à la forêt dans Rox et Rouky qu'elle ne peut en achever le visionnement (j'ai essayé par deux fois; impossible) et aussi quand le petit pingouin fait rire de lui dans Happy Feet (mais celui-là ma soeur m'a forcée à le regarder jusqu'à la fin... Heureusement, il finit par se faire respecter), ou encore qui a le coeur serré juste à penser qu'elle «abandonne» quelques-uns de ses toutous pour les donner à des enfants qui n'en ont pas. Il y a être sensible, et il y a être sensible pour des créatures animées et des peluches dépourvues de signes vitaux, parfois même davantage que pour des êtres humains.
mardi 30 novembre 2010
Moi, je suis l'espèce de trop intense qui a les larmes aux yeux lorsque le garçon et sa «lost thing» se séparent dans le court film d'animation The Lost Thing, ou qui pleure tellement quand la vieille dame rapporte son petit renard à la forêt dans Rox et Rouky qu'elle ne peut en achever le visionnement (j'ai essayé par deux fois; impossible) et aussi quand le petit pingouin fait rire de lui dans Happy Feet (mais celui-là ma soeur m'a forcée à le regarder jusqu'à la fin... Heureusement, il finit par se faire respecter), ou encore qui a le coeur serré juste à penser qu'elle «abandonne» quelques-uns de ses toutous pour les donner à des enfants qui n'en ont pas. Il y a être sensible, et il y a être sensible pour des créatures animées et des peluches dépourvues de signes vitaux, parfois même davantage que pour des êtres humains.
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Moi qui croyait être la seule à avoir pleuré dans Rox et Roucky!! Je suis contente de voir qu'il y a encore des êtres sensibles...
RépondreSupprimerBonne journée!
Nous ne sommes pas seules! ;)
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