Une petite liste :
J'aime...
- les fourmiliers. Quelles bêtes!
- les expressions «Plaît-il?» et «Que nenni». J'aime bien utiliser la première dans une conversation ordinaire;
- Gorillaz. Ce groupe est doté d'un génie tout à fait surprenant et plaisant à écouter;
- l'album Wolfgang Amadeus Phoenix, de Phoenix;
- le film Before Sunrise, malgré que la photo sur le dessus du boîtier soit d'un quétaine insurpassable. Je me suis finalement décidée à le regarder, parce qu'il y avait déjà quelques années que j'avais été submergée par sa suite, Before Sunset. Ça en a valu la peine. Il ne se passe pas grand-chose dans ces films, mais les dialogues sont solides et le naturel des deux acteurs, Ethan Hawke et Julie Delpy, est saisissant, de même que la chimie entre eux;
- avoir réussi mon objectif de lire presque tous les finalistes au Prix des libraires cette année. En fait, je les ai tous lus sauf deux : je n'ai pas terminé Purge et je n'ai pas touché à L'homme inquiet, sachant déjà que je ne voterais pas pour ce Henning Mankell, à tort ou à raison;
- le livre Réussir son hypermodernité et sauver le reste de sa vie en 25 étapes faciles, de Nicolas Langelier. Original, cynique et autodérisoire;
- Marc Séguin. Cet homme humble est un artiste de grand talent, et j'avais apprécié son roman La foi du braconnier;
- le blog (désormais terminé) Portraits as Living Deads. J'adore le concept, surtout la partie des cent premières personnalités dessinées tel qu'on les a retrouvées mortes;
Je n'aime pas...
- me faire bullshitter;
- ce moment-là, très précisément;
- tes foutus silences;
- les marques que laissent les bas au-dessus des chevilles après qu'on les a enlevés. C'est pas chic;
- me rendre compte que je choisis toujours la caisse où l'attente est la plus longue, à l'épicerie ou ailleurs, peu importe si je vais où il y a le moins de personnes dans la file. Je crois que cette malédiction me vient de mon père;
- tirer, malgré les apparences;
- devoir prévoir à l'avance ce que je vais porter. J'ai de la difficulté à choisir mes vêtements deux minutes avant de m'habiller, alors faire des bagages, pour moi, ça craint;
- me taper une heure d'autobus pour aller travailler, et une autre heure pour revenir après la journée. Une chance, ce n'est que temporaire. Deux semaines et je regagnerai mon espace à proximité de tout, ou presque!
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