mercredi 1 mai 2013





C'est la Fête des Travailleurs aujourd'hui.  Moi je dis qu'il devrait y avoir une Fête des Fainéants.  Pour s'en féliciter, vraiment, une fois l'an.  Paresse pour tout le monde.  Paresse gratuite et satisfaisante, gratifiante même.

Nous avons eu froid, vous vous rappelez?  Comme à chaque année (CHAQUE ANNÉE), le soleil et la chaleur sont revenus, le printemps est là et l'été s'installe, malgré les craintes de tout un chacun et surtout de ceux qui trouvaient l'hiver long à partir.  C'est fou ce que plusieurs perdent espoir en des cycles pourtant bien établis depuis des siècles.  Oui, les changements climatiques existent, mais j'ai foi en les quatre saisons et leurs caractéristiques distinctes.

Je n'ai pas écrit en avril.  Constat consternant.  Je me demande si je ne devrais pas me trouver de nouveaux buts.  J'ai peut-être écoulé certains intérêts.  Le problème c'est que je me retrouve devant rien.  Ou pas grand-chose.


«Les confins de l'univers s'éloignant inéluctablement les uns des autres, on se demande ce qui peut rester de solidarité entre les parties extrêmes.»

- Georges Picard, L'hurluberlu ou la philosophie sur un toit, José Corti, p. 69





1 commentaire:

  1. Je ne veux pas t'emmerder mais tes pots sont noirs.

    Être une mère est extraordinaire.
    Avoir ma mère est aussi extraordinaire.
    J'espère que nous nous aurons longtemps.
    Voilà mon post de la fête des mères.

    S.Jolicoeur

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