J'aime...
- le nouveau dessert que j'ai concocté moi-même : crème champêtre 15%, biscuits au thé Leclerc concassés et morceaux de fraises (ok, c'est pas super original et c'est plus comme une version très grasse d'un parfait-yogourt-chose, mais MmMMmmmmMMMMmmmM...);
- la série L'imposteur;
- le film Whiplash (2014). Beaucoup aimé. L'influence malsaine et l'abus psychologique qu'exercent le grand maître de jazz Terence Fletcher sur l'étudiant en musique Andrew Neiman sont puissants et dérangeants. Les méthodes éducatives de Fletcher qui ont pour but d'amener un musicien à toujours repousser sont extrêmes et Neiman embarque en risquant tout, jusqu'à sa santé mentale. C'est le genre de thèmes que j'adore explorer en visionnant des films ou en lisant des livres;
- manger brayon avec du stew et des ployes!
- le moment où l'on libère un chien que son maître ou sa maîtresse est venu(e) chercher après s'être fait coiffer. C'est toujours beau de voir les pitous se mettre à battre de la queue et courir vers leur humain préféré.
- que Peggy Sue dorme avec moi au pied de mon lit depuis plusieurs nuits. Elle attend quelques minutes après que j'aie éteint la lumière puis elle saute me rejoindre en roucoulant. On est rendus 4 dans le lit. Je dirais pas non à une commandite pour un format king.
Je n'aime pas...
- l'extrême angoisse qui me prend chaque fois qu'il est question de sortir de chez moi depuis une couple de semaines;
- la cellulite;
- le froid;
- mon budget serré;
- tout ce qui se passe autour de la (l'in)culture du viol. Je ne sais même pas quoi dire. Je me suis surprise à avoir la réflexion suivante en lisant un article : «Mais pourquoi elle est retournée chez le dude?». Ça m'a frappée, je me suis dit que je n'étais pas mieux que les autres qui portent le blâme sur la victime. Pourtant, je me dis toujours que non c'est non et qu'on peut changer d'idée à n'importe quel moment sur ce qu'on a envie de faire et de vivre avec une autre personne. C'était la première fois que j'avais ce genre de réaction. J'ai un peu honte, parce que je suis pourtant outrée du phénomène et de la trop grande quantité d'actes inacceptables/indécents/violents/déplacés/destructeurs/(...).
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