Je croyais que la passion amenait la certitude. Au moins une. Une certitude, celle de s'y fixer, à cette passion, et de ne plus lâcher.
Mais là, j'sais pas.
Je réfléchis. En me disant parfois que je ne devrais pas avoir à le faire. Pas à ce propos. Mais je suis comme ça, moi, et qui suis-je pour me changer.
«Qui suis-je pour me changer». Ouais, c'est bien dit, ça. Et qui êtes-vous pour me troubler?
La nuit c'est plus simple. On dirait. Moins de questions volontaires. Qu'une inconscience (ou un inconscient? Quel genre donne-t-on à ça, en ces circonstances?) qui a le dos bien large.
Je pense que c'est féminin, dans ce cas. Pas parce que les femmes sont inconscientes. Il ne faut pas voir de propos anti-féministe dans mon commentaire.
RépondreSupprimerBientôt, tu auras Juan Ignacio pour te tenir compagnie dans ces moments d'atroce lucidité.
Haha, oui!
RépondreSupprimerJe ne te prête pas de propos anti-féministe, rassure-toi :)