«Je suis habité ce soir par des sentiments pour lesquels il n'y a pas de mots, et des faits qu'il faudrait expliquer en termes de poussières plutôt qu'en paroles.
J'ai examiné des petits bouts de mon enfance. Ce sont des morceaux d'une vie lointaine qui n'ont ni forme, ni sens. Des choses qui se sont produites comme des poussières.»
- Richard Brautigan, «Poussières», dans La vengeance de la pelouse,
10/18, p. 149.
Aaaaahhhhh! Brautigan! Quel génie!! Je ne retrouve plus mon exemplaire de "Sucre de pastèque", c'est dommage car je t'aurai cité mon passage préféré qui parle de l'identité. Je réalise que je suis en manque de ce livre et de cet auteur, il est plus que temps que j'y retourne.
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