Le talent qu'ont certaines personnes de développer et entretenir leur inaptitude à gérer les relations interpersonnelles m'épate.
Cette espèce d'habitude de se foutre dans des situations inconfortables qui s'installe au point de transformer l'abondance de malaises en un confort improbable me laisse perplexe.
Autant aimer et côtoyer l'ambiguïté, ça se pratique? Peut-on devenir doué en la matière? Peut-on en faire son mode de vie? Devrions-nous l'imposer aux autres? Ça peut en égratigner quelques-uns... Ce ne serait pas plus profitable d'apprendre dans le bon sens? Il doit y avoir une façon de diminuer les dégâts...
J'ai déjà été prône aux histoires de marde. Abonnée aux contextes pas possibles. Nul doute que j'ai souvent fait partie des symptômes. J'ai fait mal, moi aussi. On peut considérer les concepts de méchanceté et d'intention derrière les gestes ou les paroles (ou l'absence de), parce qu'il est vrai que beaucoup de gens n'ont pas en eux cette volonté de blesser les autres. Mais ça arrive, et quand c'est fait, pourquoi nier? Ce n'est pas à la personne fautive ou à qui que ce soit d'autre de valider ou non ce que l'on ressent.
Cette espèce d'habitude de se foutre dans des situations inconfortables qui s'installe au point de transformer l'abondance de malaises en un confort improbable me laisse perplexe.
Autant aimer et côtoyer l'ambiguïté, ça se pratique? Peut-on devenir doué en la matière? Peut-on en faire son mode de vie? Devrions-nous l'imposer aux autres? Ça peut en égratigner quelques-uns... Ce ne serait pas plus profitable d'apprendre dans le bon sens? Il doit y avoir une façon de diminuer les dégâts...
J'ai déjà été prône aux histoires de marde. Abonnée aux contextes pas possibles. Nul doute que j'ai souvent fait partie des symptômes. J'ai fait mal, moi aussi. On peut considérer les concepts de méchanceté et d'intention derrière les gestes ou les paroles (ou l'absence de), parce qu'il est vrai que beaucoup de gens n'ont pas en eux cette volonté de blesser les autres. Mais ça arrive, et quand c'est fait, pourquoi nier? Ce n'est pas à la personne fautive ou à qui que ce soit d'autre de valider ou non ce que l'on ressent.
«Il n'a pas voulu...». «Elle n'a pas fait exprès...». Ça se peut. Ce serait bien alors de constater, d'assimiler et de corriger. Ne plus recommencer. Je pense que la répétition peut être un bon indice de mauvaise foi, d'inconscience, d'indifférence, d'insensibilité, d'aveuglement, d'inintérêt. Parce qu'à un moment donné... Quand on se retrouve continuellement dans des situations desquelles on a toujours envie de fuir, il faut peut-être se poser des questions. Ceux qui se croient à l'abri de tout, ou qui le sont réellement parce qu'ils finissent toujours par s'en sortir, m'agressent profondément. Et me font me demander : à quel moment abandonner? Déclarer forfait? Abdiquer sur quelqu'un? Classer ça «cause perdue»?
Je commence à comprendre comment ne pas choisir est un choix en soi. Comment ne pas agir est en fait une action et peut traduire un tas de choses. Comment opter pour le statu quo démontre tant. Et comment ne pas parler peut tout dire.
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