vendredi 27 novembre 2020

 



Au travail, il m'arrive souvent d'avoir des «hallucinations visuelles», si je peux dire.  Rien de grave ou de problématique, ça arrive quand je scanne ou manipule des livres rapidement.  Je lis vite ce qui passe devant mes yeux et je me trompe, des fois de façon assez solide.  Ça donne des titres farfelus, des gros mots et des allusions qui me font bien rire et qui s'éloignent sans doute de l'intention des auteurs ou de l'équipe éditoriale.  Pas d'inquiétude, je relis toujours quand vient le temps de créer la fiche d'un livre.

En voici quelques exemples :


  • la collection de livres Chemins de traverse
    • Lu : Chiens de terrasse

  • le titre ANAN 
    • Lu : ANAL (je m'excuse)

  • le titre Trouble dans le genre
    • Lu : Trouble dans le beurre

  • sur une quatrième de couverture : «... l'office funèbre»
    • Lu : l'orifice funèbre

  • le titre Naissance d'un Goncourt
    • Lu : Naissance d'un Yogourt

  • le titre Drame
    • Lu : Marde

  • le titre Bible des Impressionnistes
    • Lu : Bible des Impressionnantes

  • Val-Caduc
    • Lu : Viaduc

  • la bande dessinée Mortelle Fantasy
    • Lu : Murielle Fantasy

  • potions de plantes
    • Lu : potions dépliantes

  • sur une couverture : Le nouveau Brunetti
    • Lu : Le Nouveau-Brunswick

  • le titre Chère Traudi
    • Lu : Checke Trudi

  • le nom Ken Follett
    • Lu (à chaque fois) : Feu Follet





2 commentaires:

  1. Peut-on dire que ta dérivation de la couverture "Le nouveau Brunetti" est une déformation professionnelle ? ... ;)

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  2. On peut dire que j'y suis encore un peu attachée. :)

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