samedi 19 juillet 2008

Mais moi j'y pense. J'essuie tous tes visages, ceux qui me grugent la mémoire, et j'embarque dans ce qu'on appelle le quotidien.

Je n'aurai pas le temps. De te dire que c'est lui... Qu'il faut bien...

Fous le camp. Et reviens tout le temps. J'aime me balancer entre toi et les autres.

Il arrive qu'un cruel détachement me gagne, que la distanciation me connaisse.

Petit

à

petit.

I don't care about you all that much.

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