Palmarès 37
Le meilleur : Cueillir des pommes.
Le pire : Les mouches à fruits. Laissez mes bananes tranquille!
Le pire : Les mouches à fruits. Laissez mes bananes tranquille!
L'artiste : Derrière Icinori, il y a Mayumi Otero et Raphael Urwiller. J'aime leur travail respectif, mais leur association créative est très intéressante aussi. Les illustrations de ce duo ont été utilisées, entre autres, par Forbes, le New York Times, les éditions Actes Sud et ont été exposées dans différentes galeries.
© Icinori |
Couverture pour le magazine Trois Couleurs n°118 (février 2014), © Icinori |
La vidéo : Agrémentées d'un poème de Max Stossel, ces trois minutes d'images urbaines sont de toute beauté. J'avoue que je regarde beaucoup les gens, que ce soit en attendant l'autobus ou en marchant. J'observe tout le temps. Mais je n'ai pas le guts, ou des fois même simplement l'envie, de leur adresser la parole. Des fois juste un regard ou un sourire peuvent faire ma journée.
La citation :
La chanson : Partons vite, du défunt groupe français Kaolin. Je viens de la réentendre et je me suis souvenu qu'elle m'avait beaucoup plu à sa sortie.
La lecture : Le Grand Cahier d'Agota Kristof. C'est fort. C'est très dur. Pas mal comme on me l'avait décrit. Les personnages principaux, des jumeaux, sont d'effroyables enfants. Ils ne font qu'un dans la narration et pourtant, on ne peux pas oublier qu'ils sont deux. J'ai beaucoup aimé le fait que l'auteure ne précise jamais de façon explicite le pays où se déroule l'action et ne nomme aucune nationalité (même s'il est facile de deviner où on est et de qui il s'agit).
«Le mot couple me fait irrésistiblement penser à deux canaris enfermés à vie dans une cage pendue dans un placard à balais.»
- Régis Jauffret
La chanson : Partons vite, du défunt groupe français Kaolin. Je viens de la réentendre et je me suis souvenu qu'elle m'avait beaucoup plu à sa sortie.
La lecture : Le Grand Cahier d'Agota Kristof. C'est fort. C'est très dur. Pas mal comme on me l'avait décrit. Les personnages principaux, des jumeaux, sont d'effroyables enfants. Ils ne font qu'un dans la narration et pourtant, on ne peux pas oublier qu'ils sont deux. J'ai beaucoup aimé le fait que l'auteure ne précise jamais de façon explicite le pays où se déroule l'action et ne nomme aucune nationalité (même s'il est facile de deviner où on est et de qui il s'agit).
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