mardi 11 septembre 2007


Je me suis immiscée, le temps de quelques danses. Quelques valses. J'ai percé le cercle, et subtilisé des cavaliers.

Et puis maintenant je barbouille l'air pour m'effacer. Je me sens rebondir chaque fois que j'approche trop. Une espèce de toile élastique m'empêche de me frotter à nouveau.

Ç'aura été si passager, si temporaire que ça? Voyez-vous, dans ces cas-là, je vise l'éternité.

Il y a quelque chose qui se trame derrière mon cou. Une paranoïa, vingt feux de joie, trois secrets mal gardés, deux regards chers, mille intrigues de merde, quatre drames à la con.

Ces ballets me manquaient, je ne les ai pas tous retrouvés...


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