Un déclic. Ça c'est fait, là. J'ai compris que je déviais de ce en quoi je crois. Le penser et le faire sont deux étapes qui valent autant l'une que l'autre. Je me remets en route. Je pense qu'il faut en revenir, je crois que ça suffit. Voilà.
L'immédiateté est quelque chose qui m'embête, des fois. Surtout parce qu'il faut trop souvent attendre que le temps passe et lisse tout. Et il prend son temps, le temps.
Je ne sais pas pourquoi j'insiste sur certains trucs, parfois, pourquoi je persiste, pourquoi je m'acharne. L'humain - ou la femme - ou Sylvianne - a vraiment une forme de masochisme d'ancrée en lui. Une quelconque tendance à se détruire à la source. Une volonté intrinsèque de se mutiler la raison, de se râper l'âme. Ou je sais pas, moi, mais ça ne devrait pas être comme ça.
Je n'apprends pas vite, en somme. J'aurais dû comprendre il y a de cela bien longtemps. Et je devrais miser sur des sourires. Je les aime, vos sourires.
Voici mon sourire :)
RépondreSupprimerMerci, anonyme ami :)
RépondreSupprimerMille sourires splendides (HHAHAH QUEL JEU DE MOTS DÉGUEULASSE euh... j'ai écrit en majuscules. et je suis trop lâche pour recommencer !!)
RépondreSupprimerÀ mon tour de te montrer mon sourire ;D
RépondreSupprimerVous êtes tous choux :)
RépondreSupprimerTes sourires sont tout aussi aimables que les notre. A mes yeux, ils sont les plus magnifiques que cette planète, tout aussi petite soit-elle, puisse porter.
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