lundi 5 septembre 2011



Une autre formule pour la liste du mois!



Il y en a trop (dans ce monde) :

  • de pharmacies. Certaines chaînes plus que d'autres;
  • de Couche-Tard (même si ça me prend leur Sloche à tous les jours ou presque l'été);
  • de chialage (mes listes peuvent être perçues comme du chialage, c'est effectivement le cas);
  • de poils de chats dans mon appart (mais pas des chats, ça y'en a pas assez);
  • d'abandons;
  • de livres;
  • d'idiots;
  • de gaspillage;
  • de sacs (autant en plastique que réutilisables...);
  • de crap que mes voisins ont à vendre (ils ont dû faire une vente de garage à toutes les fins de semaine durant l'été);
  • de maringouins (et autres insectes indésirables dont l'utilité sur Terre m'échappe chaque fois que j'en croise un);
  • d'injustices;
  • de situations à l'issue merdique pour lesquelles on blâme le mauvais timing;
  • de ménage à faire. Et c'est toujours à recommencer.


Il n'y en a pas assez (dans ce monde) :

  • de dons de sang (je suis la première à ne pas y aller... Est-ce qu'on peut donner du sang si on a du lithium dans ses veines?);
  • de liberté;
  • d'ouverture (d'esprit);
  • de shows de Freatz;
  • de soirées dansantes dans ma vie (je ne parle pas d'aller dans les clubs, là... Plutôt rock'n'roll!);
  • de bonnes téléséries québécoises;
  • d'équilibre;
  • d'enfants comme Adéline, la petite fille d'un an de ma cousine Andréanne et de son mari Vincent. Elle est a-do-ra-ble! Si davantage de bambins étaient comme elle, j'envisagerais peut-être d'en avoir moi aussi;
  • de gens qui adoptent des chats errants ou abandonnés. Adoptez un chat à la SPA ou dans un refuge plutôt que dans une animalerie, même si ce n'est pas un bébé (visitez le site d'Adoption Chats Sans Abri, ce n'en est qu'un parmi tant d'autres);
  • de stylos à la librairie. On les cherche toujours;
  • de temps pour tout découvrir (musique, auteurs, endroits, plats, breuvages...).

2 commentaires:

  1. Il y a trop de choses insignifiantes et trop peu de choses importantes. L'équilibre de ce monde est aux chiottes, vivement le retour de la balance.

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