vendredi 6 juillet 2007

J'ai choisi. Je ne m'y arrêterai plus. Je passerai par là, sans doute. De temps à autre, dans les recoins, je ne pourrai m'empêcher de m'y retrouver. Mais d'y stopper? Non. Je ne visiterai plus ce motif.

Tordez mes idées, si ça vous chante. Elles demeureront ce qu'elles sont dans mon esprit à moi.

Il ne faut plus, il ne faut pas. Alors je ferai.

2 commentaires:

  1. j'peux pas m'empêcher de ressentir de la "haine" (ou un truc qui s'en approche) dans ce message, et de me sentir visée.

    j'espère que tu vas bien, malgré tout ce qu'on a pu se dire. (oui, je lis encore ton blogue, moi aussi.)

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  2. Ce n'est pas de la haine. Et tu n'es pas la seule visée, tu es peut-être la moins visée. C'est un cri à l'humanité, un rappel de «qui sommes-nous pour juger quand on ne sait pas ce qui s'est réellement passé?».

    Je vais bien, malgré tout. Toi aussi j'espère? Merci de me lire encore.

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