lundi 23 juillet 2007

L'exil s'est fait relifter. Parce que parfois juste foutre le camp ne garantit pas d'apesanteur salvatrice.

Je me roule dans d'autres pelures que la mienne. Jusqu'à ce que quelqu'un revienne. Jusqu'à ce que j'apprenne.

D'ici là je me procurerai la saison 2 de Doggy bag, puisque Philippe Djian m'a conquise. J'entamerai aussi Homme invisible à la fenêtre, Monique Proulx mérite que je m'y attarde je crois. Et puis je terminerai de visionner Magnolia, parce que je l'aime bien, ce film, et parce que je déteste le personnage de Tom Cruise. Entretemps, aussi, je ne pourrai m'empêcher d'écouter en boucle Regina Spektor chanter son Samson et comment il l'a embrassée jusqu'aux lueurs du matin. Merci, Pierre-Luc, de l'avoir mise dans mes oreilles, celle-là ;)

3 commentaires:

  1. Ayoye, Sflvaun! J'en ai mal à la tête! Faut croire que le dark ça me sied pas!
    Mais j'aime bien l'apesanteur, et les pelures. Souvent, c'est tout ce qui reste, et c'est mieux que rien.

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  2. Tant que ça, Martin? Hihi :P Pourtant, je les aime bien, les nouvelles couleurs (évidemment, puisque je les ai choisies...).

    Si j'ajoute ta page dans mes liens, vas-tu continuer à me lire? ;)

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  3. SAMSON. Cet homme !

    Mon influenza m'a fait prendre du retard dans la lecture de ton blogue. Je vais donc commenter tous les posts.

    J'aime les nouvelles couleurs. Genre parchemin sale. hihihi.

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