samedi 27 mars 2010





La politesse cache souvent une grande part d'hypocrisie, que je me dis. Et je me demande comment contrer ce fléau. Je n'ai pas la solution, je n'ai pas DE solution, et je n'en revendiquerai pas. Je n'ai pas la prétention de pouvoir sauver le monde ou qui que ce soit. C'est bien dommage, remarquez, je me cherchais justement un but à 2010. Eh oui, à la veille d'avril, je piétine encore avec mes objectifs. Bof. À passer au suivant, que je me dis.

Je crois qu'hier, c'était un anniversaire. Mais tellement, TELLEMENT, de chemin a été fait depuis. C'en est hallucinant. Surtout de compter la distance qui me sépare maintenant des gens avec qui je partage ce souvenir. Ça reste encore quelque chose que je ne saisis pas. Je pense que j'en suis désormais à construire autre chose, malgré les fils qui me retiennent à cette période-là, et aux autres aussi.

J'imagine que je devrais être plus reconnaissante. Je le suis tout de même un peu; je ne suis pas ingrate. Et me poser moins de questions. Peut-être qu'il s'en poserait moins, lui aussi. La vie, franchement, y'a rien d'évident là-dedans. Bof. Prochain problème. Parce qu'on en finirait pas, vraiment.




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