jeudi 24 avril 2008

Je croyais pas, qu'à moi, ça pouvait arriver. D'habitude, ils partent, peu importe leurs raisons, et ne reviennent pas sur leur décision. Mais toi tu y as repensé, et t'as regretté m'avoir dit que tu devais filer, que t'en avais besoin, sans t'arrêter sur tout ce que tu m'arrachais.

Je t'aime.

Merci d'avoir rappelé. Merci d'avoir mis fin à ces toutes petites vingt-quatre heures de merde. Merci de ne pas avoir dormi, d'en avoir parlé et de t'être fait traiter de con par tes interlocuteurs. Parce que moi aussi je te trouvais cave de m'aimer mais de partir.

Je veux qu'on s'aime et qu'on se fasse chier ensemble. Parce que me faire chier toute seule, je n'y tiens plus.


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