mercredi 13 mai 2015






Palmarès 20


La citation :

«SYLVAIN - Mathilde.  Si t'arrives pas à pleurer, tu peux parler.  Si tu peux pas parler, dis rien.  Mais tu sais, parfois, on commence à parler et c'est là qu'on se met à pleurer et pis là on dit ce qu'on n'aurait pas dit en parlant, si tu vois ce que je veux dire.  Sinon, tu peux aussi continuer à faire ta tête de pioche.»
- Un long dimanche de fiançailles, film de Jean-Pierre Jeunet, scénario de Guillaume Laurant et Jean-Pierre Jeunet d'après le roman du même nom de Sébastien Japrisot


Le meilleur : Prendre part au Burger Fest annuel.  Passer des heures entre amis à manger (des burgers, pour ceux qui ne suivent pas), boire de la bière, discuter, tenir un minuscule chihuahua-rat dans mes bras, flatter le basset de la place et gratter le dragon barbu, rire et écouter des charmants musiciens se faire aller la guitare et hurler les paroles (souvent transformées en vers douteux).  Rire encore.  Rentrer au petit matin, avec le soleil qui se lève.  


La lecture : L'attentat, de Yasmina Khadra (Julliard), roman paru 2005.  Un roman troublant qui raconte l'histoire d'Amine, un médecin arabe vivant à Tel-Aviv.  Après avoir opéré sur plusieurs victimes d'un attentat à la bombe dans un restaurant de la ville, il apprend que le kamikaze n'était nul autre que sa propre femme, Sihem.  Il se lancera alors dans une quête pour savoir comment l'amour de sa vie en est venue à basculer du côté de ceux qui se sacrifient pour la Cause.  Il est plus que désolant de penser que ce livre est sorti il y a dix ans, et que le conflit israélo-palestinien est loin d'être réglé...


La chanson : I'm an Albatraoz, d'AronChupa.  Oui oui, la toune qui joue dans la pub de Hyundai avec Guillaume Lemay-Thivierge.  Je suis consciente du potentiel de ver d'oreille de cette chanson, mais elle me plaît.  C'est surtout que je me vois très bien sur un plancher de danse en train de danser ma vie là-dessus.




Le photographe : Celui qui s'amuse à prendre des photos de Barbie vintage et à les vendre dans les rues de New York, David Parise.  Il utilise de vraies poupées, Photoshop et des décors miniatures pour créer des clichés cocasses et audacieux.  Pas trop de scènes de vie familiale conforme dans l'univers de cet artiste.  On y voit plusieurs couples formés de deux Ken ou de deux Barbie, beaucoup de poitrines nues, des scaphandriers...  Un brin salace et frivole, comme j'aime!

Late for Dinner Again!© David Parise


Girls Headstands, © David Parise

L'album : The Kinks Are The Village Green Preservation Society de The Kinks, sorti en 1968.  Merci à JP de me l'avoir prêté.  Mon appréciation de ce disque renforce mon goût pour les groupes britanniques.  Que de la bonne musique!







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