jeudi 24 août 2017





J'aime...

  • le livre Le nénuphar et l'araignée, de Claire Legendre, paru aux éditions Les Allusifs.  L'auteure y raconte ses phobies, ses angoisses, ses malaises.  Ces textes me parlent tellement, c'est fou.  C'est rempli de réflexions prenantes et teinté d'un peu d'humour.  Il s'agit d'un partage sincère et généreux;
  • le livre Jeanne Moreau a le sourire à l'envers, de Simon Boulerice, publié aux éditions Leméac.  Je l'ai lu d'un trait, alors que je n'arrivais pas à me rendormir une nuit.  Ce roman pour ados portant entre autres sur l'anorexie raconte l'histoire de Léon, jeune banlieusard de la rive sud de Montréal, qui entretient une correspondance manuscrite avec Léonie, jeune fille de la rive sud de Québec, et de sa famille.  Le sens de l'exagération de Léon est craquant et fort réaliste - tout est la fin du monde quand on a quinze ans.  Un récit drôle et tendre;
  • les séjours à l'hôtel.  Je n'y suis pas allée si souvent, mais voir tous ces touristes passer à la boutique où je travaille me fait me rappeler que j'aimerais bien souvent être à leur place et voyager et passer des soirées et des nuits dans une chambre étrangère et profiter de la piscine.  Ça n'a pas besoin d'être ultra-luxueux.  J'aime les petits déjeuners qui y sont servis et le fait que c'est quelqu'un d'autre qui fait le ménage à ma place;
  • souhaiter bonne fête aux gens.  Noël ne me dit vraiment pas grand-chose mais les anniversaires, je trouve ça important et j'aime bien le souligner.  C'est une belle occasion pour dire à la personne qu'elle est spéciale et qu'elle nous est chère.  J'apprécie aussi beaucoup quand on célèbre le mien;
  • la sauce à pizza Gattuso.  C'est ce que je mets dans mes nachos au lieu de la salsa.


Je n'aime pas...

  • les travaux sur ma rue.  Ils refont l'asphalte et des bouts de trottoir.  C'est bruyant et je me demande toujours si j'ai le droit d'y marcher pendant qu'ils sont là.  Je suis gênée de sortir de chez moi, imaginez-vous donc!  Ça perturbe le sommeil de mes chats, aussi.  Bon ok, j'avoue que ce n'est vraiment pas si pire que ça mais je ne peux m'empêcher de me sentir impuissante quand Ignacio me regarde, l'air de dire «Mais fais quelque chose, j'essaie de dormir, moi!»;
  • ne pas aller au refuge parce que je manque de motivation et que je n'ose pas sortir de chez moi à cause des travaux susmentionnés;
  • les factures à payer;
  • la constipation (dans tous les sens du terme);
  • le manque d'inspiration (surtout le mien).




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